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MessagePosté: Nov 13, 2006 10:15 
Groupie hystérixx
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FOR YOUR LIFE

Dom's
2 - For Your Life :


Je ne sais pas comment ils choisissent leurs 2° morceaux d’album chez Led Zeppelin mais si l’on en fait l’historique jusqu’à « Presence », il y a toujours eu une assez régulière alternance entre le plutôt calme et le plutôt violent. Voyez plutôt, sur Led Zep 1, c’était « Babe I’m gonna leave you » qui était sensé calmer le jeu après la furie de « Good Times Bad Times » alors qu’en revanche, sur le II « Whole Lotta Love » et « What is and what should never be » semblaient faits du même airain en fusion. Sur le III , les électrochocs d’« Immigrant song » trouvaient onguents plutôt apaisants quoique mystérieux en « Friends, puis vinrent les fameux frères du feu sublimes du IV en les brûlots « Black dog »et un « Rock and Roll » de rage. Sur « Houses of the holy » des pieds surchauffés par la folle galopade de « The Song remains the same » purent se plonger avec soulagement dans les eaux calmes de « Rain Song » avant de repartir vers « Physical Graffiti » et le pacte de plomb signé par les associés remorqueurs d’immeuble, « Custard Pie » et « The Rover ». Et nous voilà déjà rendus à ce début de « Presence » où logiquement là et vu la puissance dégagée par « Achilles », il fallait certes refroidir la marmite infernale mais ne pas lever le pied au point que le soufflé en retombe. Je voyais donc assez mal le Zep nous offrir une version reliftée d’un quelconque « Menuet du bourgeois gentilhomme » ou autre « Lettre à Elise » pour jouer les premiers ministres du royaume Presence…

L’élu fut donc ce fameux « For Your Life ». Un morceau plus immédiat que le précédent mais moins violent en apparence, presque pépère même. Fourbe, probablement. Mais quand même, la tranquilité de façade ne parvient pourtant pas à cacher une chose assez hybride et complexe battant lentement au rythme de l’inexorable tout en alimentant en données d’une logique mathématique imparable une puissante équation rock à variables funk. Par exemple, le riff principal d’apparence simple et rock est superbe de machinerie métallique multicouche là aussi, la spécialité d’un Page qui n’a pas de clavier à gérer, mais il est doublé par endroit d’un accélérateur funk qui tourne plus vite que lui et qui booste l’ensemble en le rendant plus speed, et c’est grâce à qui tout ça ? hé bien surtout à John Bonham, toujours aussi puissant et précis dans une sorte de funky attitude où sa frappe se fait flashy et resserrée mais jamais trop lourdasse, et à quelqu’un qui s’est vêtu de son T-shirt « Tamla-Motown » pour l’occasion, notre bon vieux John Paul Jones qui encore une fois Jamersonise un max en prenant le parti d’adhérer fidèlement et comme une sangsue à la colonne vertébrale rythmique de Jimmy Page, basse et guitare, même combat sur ce coup là ! Ajoutons à tout ça qu’ici, l’effet « plus » de Monsieur Balsen © est en fait un effet « moins », je m’explique, par moment, ce morceau ressemblerait presque à une démo, mais soignée et très viable « en l’état » (la preuve…) et sur laquelle il manquerait quelques petits overdubs de-ci de-là pour faire plus basique. Un morceau globalement assez massif certes, mais restant élégant et racé comme peut l’être un rock façon «Led Zep » quand il est dénué de toute fioriture et a accepté de faire une petite cure de Slim Fast © pour être plus digeste et cinglant…

Moyennant quoi nous dit le morceau, « moi - For Your Life- je suis un morceau rock, ça je le sais, mais sobriété aidant, avec moins de blabla et plus d’espace et donc plus d’impact grâce aux micro-silences entre les riffs/syncopes accélérés qui accentuent le rythme, et bien je suis également funk, hé oui, mais un funk « façon Led Zep », c’est à dire biaisé, forcément, des traces quoi, mais que ça vous plaise ou non, moi ça me plait, j’en voudrait même des containers entiers pour me botter mon cul de blanc bec! ». Hé bien, voilà un sacré morceau qui ne garde pas sa langue dans sa poche me direz-vous! Et d’ailleurs, puisque l’on parle de langue, on ne va quand même pas oublier ce bon Robert Plant qui lui, après avoir d’abord joué sa plaintive résignée, se complait alors dans une sorte de sobriété toute en souffrance, pas vraiment d’effet « chatte sur un toit brûlant » ni de trucs cette fois-ci, mais des poussées vocales, parfois même à la limite de l’aphonie, extirpées du fond de ses chairs blues qu’il sait si bien titiller quand il le faut, et ce jusqu’à ce magnifique fading-out dont lui seul a le secret, tout en montée aigüe, « For Your Life », « For Your Liiiiiiiiiiiiiife »…J’adore !

Bon, je sais ce que vous allez me dire, je n’ai pas trop parlé guitare, et pourtant…Pourtant oui, c’est vrai que là encore on se sent bien sur un album estampillé Jimmy. Déjà cette montée en puissance si caractéristique du morceau à grand renfort de son électricité machiavélique et du magnétisme fidèle des autres prêtres associés, avec changement de « plateau » au tiers du morceau, on passe alors à l’octave au dessus, on change de registre dans un acte nouveau d’intensité dramatique plus élevée, plus critique, on se trouve plus haut comme sur un autel d’or offert aux rayons du soleil juge. On croit savoir que les paroles du morceau traitent de drogue, ce morceau nous a lentement inoculé sa limaille de cristal, c’est vrai, comme peut-être après quelque fix ou quelque piqûre... Ce serait donc ça l’accélération ? Après cette escalade infernale, le solo de Jimmy nous éclate enfin en pleine figure comme l’issue brûlante d’un orgasme cosmique. Il est encore une fois magnifique par sa composition qui offre un royaume dans le royaume, le noyau irréductible, l’essence primale du Zep ? le suc ? Il nous joue une tragédie urbaine de verre et de métal, le soleil couchant s’y reflète tordu en rouge sang et or, une vie entière dans chacun de ses soli, là, la sienne était-elle en un tel danger pour qu’il y soit si acide ? Et puis Munich ? New York ? Los Angeles ? …Bron Yr Aur est si loin… Tout notre Jimmy passe dans ces notes de kaleidoscope en fusion, tout ! des échevaux de notes en biais et comme à contre courant de tout, le miaulement des sirènes de l’enfer, et puis les accélérations fulgurantes tordant les épaisseurs mouvantes de nos timidités et se projetant en plein ciel pour nous narguer et nous donner l’envie…Viens petit, viens…Ah mes chers amis, je sais que j’aurais du en dire moins, mais je suis dans l’impossibilité d’en dire plus….enfin, pour le moment. « For Your Life » est d’une majestueuse singularité et c’est pour cela que je l’aime tant depuis 30 ans déjà, en fait, je crois bien que c’est pour la vie, tout simplement…


Pierrou

For Your Life

Maintenant que tout le monde est bien rassuré sur la capacité intacte du groupe à dérouler du chef d'oeuvre au kilomètre, le spectacle - le vrai - va pouvoir commencer. Longtemps, j'ai cru que le Zep pressé de Presence avait mis tellement de jus dans l'Achilles qui précède qu'il ne lui en restait plus une goutte pour finir l'album. Il faut dire que jusque là, les chansons de Led Zeppelin, en principe, c'était quelque chose : un son fourmillant, crépusculaire ou titanesque selon les besoins, aux enchevêtrements harmoniques et rythmiques de plus en plus inextricables - le sommet étant peut-être ce fameux délire achilléen, des mélodies à tiroirs démentes comme des architectures lovecraftiennes, et puis, avant toute chose, partout, des riffs, lourds, légers, gentils, méchants, mais de ces combinaisons de cinq ou six notes qui ouvraient d'emblée à Jimmy Page les portes de nos impressionnables cervelles. Le beurre, l'argent du beurre, et parfois bien plus encore, on avait des morceaux qui envoyaient aussi bien sur la hi-fi dernier cri du voisin que sur un mange-disque fatigué, on en a déjà pas mal parlé ici et ailleurs. Les vieilles chansons du Zep, c'était quelque chose... Or, sur ce For Your Life, il n'y a presque plus rien à se mettre sous la dent. On parlait de riff, bon, à première vue, celui-ci serait plutôt du genre modèle de série, simple, efficace, sans génie particulier. La chanson? Certainement pas leur meilleure composition, un truc assez plat et répétitif, malgré l'enchaînement ininterrompu de séquences diverses et de figures façon programme libre des Jeux Olympiques d'hiver, un truc plus compliqué que réellement complexe, pas exactement une de ces chansons faites de bric et de broc mais qui tiennent debout comme par magie genre Over the Hills and Far Away. Et pourtant, elle tient. Prenez Led Zeppelin, enlevez-lui ses riffs imparables, enlevez-lui ses mélodies parfaites, enlevez tout ce qui brille, qu'est-ce qui reste? Il reste Led Zeppelin, le groupe. Un groupe qu'on ne connaît que de loin tant qu'on n'a pas entendu Presence. Sur Presence, il y a des chansons pas mal, d'autres pas terribles, mais la vérité est ailleurs, elle est quelque part entre les notes, derrière le mur du son. Paradoxalement, il m'aura fallu un long détour par les musiques nouvelles, l'improvisation libre, pour enfin comprendre pourquoi il y avait ces six minutes vingt de musique derrière Achilles plutôt que rien. Il aura fallu, il y a quelques années de ça, que je me retrouve, un jour, à Chaumont, comme une poule à qui on aurait refilé un cure-dents devant un disque de Derek Bailey et Joëlle Léandre, plein de bruits, de dissonances, de frottements (il n'y avait même que ça) pour découvrir qu'il ne fallait pas confondre musique et chansonnettes, que le chemin était parfois plus beau que l'endroit où il mène, que tout pouvait être musique pour peu que le courant passe. For Your Life, tout, presque tout est dans l'interprétation, dans la connivence, quatre types qui ici n'en font qu'un et jouent précisément comme si leur vie en dépendait, domptant l'électricité avec un aplomb de charmeurs de serpents. Page, armé d'une Stratocaster bleue, sculpte à même le son, à grands coups de vibrato, des paysages mouvants faits de cieux rougeoyants et de roches en fusion, et nous livre une fois de plus un solo redoutable, flamboyant comme aux premiers jours mais chargé des cendres de tous les batailles du Zep. On appréciera aussi les bégayages de Plant, fraîchement descendu de son piédestal et excellent dans son propre rôle, malgré sa voix cassée, et la classe naturelle de John Paul Jones et Bonzo. Qu'importe le flacon, nous disent-ils, et finalement, des jams californiennes débridées de 1969 aux délires funk ou reggae des derniers albums en passant par les reprises de rocks de fins de concerts, ils n'ont jamais rien dit d'autre, ce qui compte, bien plus encore que les morceaux qu'on joue, c'est d'entretenir la flamme. Tout change, tout est toujours à reconstruire, mais au fond, la chanson est restée la même.


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MessagePosté: Nov 13, 2006 17:00 

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Une tuerie. Le P'tit coup de vibrato du riff. La sensation elastique. D'la bombe.

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MessagePosté: Nov 13, 2006 18:51 
Xoeht
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Ouais un super morceau. C'est bien lourd, bien moite, et pourtant ça groove! Et puis c'est bien construit, sa progresse bien, le solo est génial et bien dans l'esprit... bref, un p'tit bijoux pour les connaisseurs 8)


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MessagePosté: Nov 15, 2006 0:30 
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Excellent morceau For Your Life.
Il me fait penser à Sick Again, pour son côté saturé et crade. On retrouve cette même énergie même si elle est plus bigarrée, destructurée, et rugueuse sur For Your Life. Un grand morceau brut, très Presence.


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MessagePosté: Nov 16, 2006 21:26 
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Bien d'accord avec le yed :P

J'aime beaucoup cette chanson, particulièrement le solo et la progression du riff, j'adore comme il reprend avec la note aigue (vers 5') appuyé par Bonzo...

A ce propos, j'avais pensé lancer un sondage sur le bruit nasal qui se trouve dans cette chanson (5'32). Qu'est-ce donc ? :confus:
  • Jimmy qui, faisant fi des paroles et des recommandations de Plant, se tape un petit rail
  • Jean-Paul qui, trouvant qu'on n'entend pas assez sa basse, s'est endormi (ça aurait pu être Bonzo un peu alcoolisé, mais il joue encore :lol:)
  • Grant qui imite le cochon pour une raison inconnue
:?:
La question reste entière...


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MessagePosté: Nov 17, 2006 16:12 
Groupie hystérixx
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ppffff mais que t'es nouille :roll: :coquin: c'est juste Robert feule.... ça s"entend quand même!! :pompom2:


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MessagePosté: Nov 17, 2006 16:34 
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Robert feule ? Comment ? Quoi dit ? :lol:

Pour moi on dirait clairement quelqu'un qui nous fait un ronflement nasal...
Et je me demande ce que ça fout là (à part le rapport avec le "sniffer" des paroles) :confus:


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MessagePosté: Nov 17, 2006 17:04 
Groupie hystérixx
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"c'est juste Robert QUI feule"... escuse

oui il feule, il fait un bruit de gorge comme les felins
, tu vois ce que je veux dire!!?? ça s'entend bien!!
je comprends meme pas comment tu peux faire ça avec ton nez!! t'es fort trés cher, mais pas trés rafiné...

:lol: :mrgreen:


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MessagePosté: Nov 17, 2006 17:35 
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Ben je fais ça avec mon nez quand je veux imiter le cochon ou faire semblant de ronfler :P (d'où mes suggestions :mrgreen:)

Ok, c'est pas très raffiné :lol:

Tu as réécouté ? Pour moi c'est clairement nasal !
Tu voudrais dire que Bobbychou arrive à ronronner comme un matou ?!
C'est lui qui serait fort alors, même les scientifiques ne savent pas comment les petits mimis ronronnent :P


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MessagePosté: Nov 17, 2006 17:57 
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Ouais, c'est un groinement de cochon...


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MessagePosté: Nov 17, 2006 18:07 
Groupie hystérixx
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essais d'imiter le ronronement d'un félin, tu fais ça avec ta gorge, ben voila... sauf que lui le fait mieux, de plus c'est pas la premiere fois qu'il fait des bruit animal avec sa voix, jamais son nez! :lol:


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MessagePosté: Nov 17, 2006 18:16 
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Pff, Robert n'est pas toujours aussi raffiné que dans tes rêves :mrgreen:
On parle bien de ça?


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MessagePosté: Nov 17, 2006 21:19 
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Oui, c'est ça :P

Bizarre comme feulement :lol:


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MessagePosté: Nov 17, 2006 21:29 
Groupie hystérixx
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mais enfin, ::fais le avec ta gorge, fais le avec ton nez...
alors?? :lol:

bon on va pas y rester des jours, hein!! bizare comme ce sujet interpelle alors que ce beau topic est à l'arret depuis 2 jours... :coquin: :gnagna:


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MessagePosté: Nov 17, 2006 21:30 
Xoeht
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Ca doit être Peter Grant... :ptdr:


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MessagePosté: Nov 17, 2006 21:37 
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C'est vrai, après coup, qu'on peut le faire avec la bouche mais également avec le nez, soit qu'on expire soit qu'on inspire. Mais c'est pas pour ça que Robert feule forcément, seul lui le sait (à supposer que ce soit lui, en plus). :P


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MessagePosté: Nov 17, 2006 21:41 
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Bon alors c'est Grant ou c'est Robert ?
Et pourquoi fait-il le cochon ? (hein, on est d'accord en tout cas, ça ressemble pas à un félin :lol:) Rien à voir avec la chanson ! :roll:

Personne pour Jean-Paul qui ronfle ? :mrgreen:


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