On en a déjà longuement débattu.
Du temps où le haut-débit n'était pas monnaie courante, il était compréhensible que le partage se fasse en mp3.
Mais aujourd'hui, on a le moyen de (intérêt à) faire évoluer la qualité avec les possibilités techniques. Pourquoi se remettre au lossy alors qu'on peut faire lossless ?
De plus, Zeppelin's Son a raison, il y a pléthore de sites de téléchargement direct de mp3, l'offre de flac l'est moins (ce qui justifie, pour l'instant, l'existence et la pérénnité de nos plateformes).
Si pour des raisons pratiques (avoir du mp3 directement) tu préfères ce type de partage, tu peux aller voir sur ces blogs, je crois qu'il y a plusieurs liens qui traînent à droite et à gauche de cette partie du forum, au besoin, tu peux lancer un appel ici, les habitués te redonneront les liens.
D'autre part, si le retour au mp3 serait à mon avis une régression, avec le flac on n'est pas plus "dans le coup" que ça vu que le format d'avenir est le DVD audio, c'est à dire la possibilité d'avoir ces mêmes concerts en 48 khz (ou même 96...), 24bit... ce ne sont que des détails techniques, souvent inaudible sur du petit matériel, mais le matériel d'écoute évolue lui aussi et finira tôt ou tard par faire apparaître de manière de plus en plus flagrante (gênante) les limites du lossy et l'intérêt du Dvd-audio par rapport au flac classique (c'est à dire correspondant à du Wav 44,1khz, 16bit).
Zeppelin's Son a écrit:
Perso je trouve que le vrai problème c'est qu'il n'existe pas de baladeur lisant le format flac.
Les capacités de stockage des lecteurs portables ayant considérablement augmenté ces derniers temps, on commence depuis plusieurs mois à voir apparaître des lecteurs de plusieurs gigas prenant en charge les formats classiques (mp3, ogg...) mais également le lossless (principalement flac).
Je crois que Hibs est bien calé sur la question, on a déjà dû évoquer quelques marques qui le font, sur ce topic ou dans un autre (de mémoire, il semble que dans le riot house, on a un sujet inauguré par love of the feet du temps où il voulait s'acheter un popod).