lespaul_standard a écrit:
A part ça dans le domaine trucs qui existent mais qu'on est pas près de voir, finalement je crois de plus en plus qu'il existe effectivement des trucs intéressants dans les archives Wolfgang's Vault, je sens que Page commence à se reveiller et pourrais se remettre à nous préparer des DVDs...enfin je rêve un peu, mais je crois au moins pas mal en la réédition de TSRTS.
Pour TSRTS, les rumeurs sont plus que persistantes et viennent de pas mal de personnes d'horizons différents (à commencer par R.Halfin) donc j'y crois très fortement! Maintenant la question, c'est l'état d'avancement du projet...
Pour Wolfgang, je ne sais toujours pas trop quoi penser...
lespaul_standard a écrit:
L'autre truc c'est qu'il existe probablement une vidéo (amateur mais plutôt complète et de relativement bonne qualité) du Blueberry Hill
tu parles d'une vidéo (ça a été confirmé par Presence, si ça peut être considéré comme une preuve tangible) !
Forcément, ce truc ne serait possédé que par très peu de gens, qui ne sont pas près de l'offrir. Dans vingt ans peut-être
putain, arrêtez de nous faire rêver et agissez !!
Le problème vient du fric engendré autour de tout ça...
Pour le master de Baton rouge 75, la valeur du point de vue des bootleggers pouvait être de 10000$.
C'est déjà un paquet d'argent (beaucoup valent moins lorsque l'enregistrement est de moins bonne qualité par exemple), mais juste pour comparaison, il est interessant de noter que:
-ce n'est qu'un enregistrement sonore
-il circule déjà très largement et dans des versions de très bonne qualité
-ce n'est pas un concert mythique (donc on ne le vend pas à l'amateur qui possède 2-3 bootlegs seulement)
A mon avis les sommes parlant de millions de dollars pour les enregistrement video les plus rares ne sont pas si farfelues. Avec une bombe telle que le Blueberry Hill en video, les bootleggers verraient les demandes venir très rapidement!
Donc le mec qui possède un tel enregistrement (s'il existe évidemment) est assis sur un paquet de fric et ne doit pas être forcément pressé de le négocier considérant que plus l'offre va se raréfier (avec le temps) plus la demande va augmenter.