Led Zeppelin forum

2009 mine de rien c'est encore loin, mais la date à Paris je pense y aller

BÖC, le genre de groupe à ne point louper..

à Dunkerque ?!!!

Et j'espère qu'a Dunkerque ça ne sera pas Miranda à la basse.

Faudra voir si ça tombe pas en même temps que la tournée de Led Zep quand même...

Pas de risques, si la tournée de Led Zep était en Avril ça serait déja annoncé !! Puis de toute façons s'ils tournéent ils feront des stades et donc tournée d'été...

Nope. Rudy Sarzo est de retour. Miranda n'a fait qu'un retour éclair.

Joe Bouchard come back, Joe !!!!

Le retour de Joe serait l'idéal !!!!

bizarrement jamais vu BOC ...
autant j'aime buck darma que je n'aime pas bloom
j'ai un dvd ( a long day's night ) qui est tres mou et ne me donne pas trop envie d'y aller ...
j'ai peut être tort..

C'est ça, reste chez toi. Ca fera une place en plus.

ça me fait toujours sourire ce genre de message afin d'essayer d'exister sur un forum,
merci quand même du conseil...

bien sùr que tu as tort, je suis certain que tu apprécierais le concert

je serais à celui la aussi, wishbone ash et BOC les deux groupes que j'adore à fond mais que personne ne connais.
c'est cool!

Et, ho, là tu vas un peu vite!
J'ai les disques vinyl achetés à leur sortie à l'époque, moi.
Ca date quand même des 70's!

On your feet... or on your knees...

Ouarf le raccourci....
J'ai écouté les 1er albums de chacun de ces 2 groupes le jour même de leur sortie !

le jour de la sortie de ces album jété comme qui dirait "meme pas un espoir au fond des chaussettes de mon pére", mais pour BOC, c'est grace à lui que j'ai découvert.

avis au fan en ce momment ya des tonnes de concert du BOC sur dimeadozen. toutes périodes et notament les vieux qu'il faut à tout prix écouter!

oui, grace au net, il y a vraiment des perles qui sortent des archives ...

Ce qui est bien avec le BÖC, ce sont tous ces concerts qui ont été enregistrés avec des moyens professionnels par la radio américaine. Et là, toutes les époques du groupe sont représentées. Pour ma part, j'ai une petite préférence pour la période 1988-1995 où on trouve vraiment des sommets d'intensité en matière de live ...

Sur Soundaboard, il ont uploadé le MTV Special BÖC de 1981, concert filmé par la télé américaine à l'Hollywood Sportatorium, donc, où l'on retrouve de très bonnes versions, entre autres, de "Joan Crawford" ou encore "Veteran Of The Psychic Wars". Solo d'anthologie de Buck sur "VOTPW". C'est typiquement le genre de doc live "inédit" qui pourrait figurer en bonus dvd à une édition remasterisée de "Fire OF Unknown Origin".

Lien de dl : http://soundaboard.blogspot.com/

Bon ça peut être un peu long à dl (14 liens) mais ça vaut vraiment le coup.

chroniques d'un internaute concernant les 3 premiers opus trouvée sur Amazon.fr :

TRILOGIE NOIRE ET CULTE MAJEUR

"Chapitre Premier

Le calendrier glissait doucement vers les derniers jours de Mai. Soudain, des hurlements déchirèrent le paisible ciel étoilé. Les villes frappées par l'Eclair froid du Rock and Roll devenaient la proie des flammes. Les Envahisseurs se firent agneaux et prirent le contrôle absolu des pouvoirs en place. La Terre n'avait plus face à elle des moutons. Les indicateurs de ses fabriques de télescopes n'avaient rien vu venir, trop occupés qu'ils étaient à nous télésurveiller. Belle comme un pied, l'Huître Bleue trônait désormais au coeur de l'Univers et imposa, magistrale, une architecture nouvelle prophétisée jadis par Black Sabbath dans le Tome V, au chapitre «Spiral Architect». Nous vîmes s'élever un Escalier en direction des Etoiles. Certains s'attendaient à ce que, selon le Mage Page descendu jadis de son Zeppelin inflammable, ces marches les menassent droit au Paradis ; d'autres crurent pouvoir échapper à la Tyrannie, échafaudant déjà des plans tordus. Mais les alambics avaient changé de main. Dans ses laboratoires secrets, la nouvelle Religion se passerait de fidèles. Elle savait bien qu'ils n'en avaient guère que le nom. Lanier, les frères Bouchard, Bloom et Dharma ne juraient que par le Culte de l'Huître Bleue qu'ils célèbreraient désormais avec la Liturgie que leur avait écrite le Grand Prêtre Pearlman. Son nom avait bien entendu été prédestiné par les Ecritures rassemblées dans l'ouvrage paru à la cour du Roi Cramoisi Ier et qui annonçait Ciel sans étoile et Bible Noire. Cette fois-ci, la Conjuration des Eléments avait frappé la Terre, la châtiant de ses innommables orgueils. L'Huître Bleue campait, debout. La Terre serait à genoux ou ne serait plus. Les temps étaient venus, nous en étions prévenus ! Le blason du Blue Öyster Cult prenait le contrôle et s'implantait dans la plaie que ses galettes nous graveraient désormais, nous retournant la question : «Pourquoi ?»

Chapitre II

Les amplis Marshall balisèrent la piste que contrôlaient les Fender. La barbarie s'abattit (sabbathit ?) sur la planète fin Mai avec une déferlante de 3000 guitares qui détruisirent le Monde. L' indéfectible armada s'en était venue semer le chaos en une subsonique attaque dont nous n'allions pas nous relever indemnes. L'Architecture Froide engagea de force une main d'oeuvre servile et les rails en fusion sortis droit des Forges de l'Enfer dictèrent les nouvelles perspectives que chacun allait adorer dans les nouveaux temples bâtis pour une liturgie baptisée «Lucifer, The Light». La fille du Diable lui-même rock'n'rollait comme prévu dans «Cities on flame». Elle était aussi, selon une thèse controversée, l'incarnation de la Maîtresse du Saumon Salé, l'Alliée de l'Huître Bleue.
«Do not panic» avait beau me trotter dans la tête comme une ritournelle sur laquelle dansait la Stacia d'Hawkwind, je savais bien que personne ne sortirait d'ici vivant. «Le futur est incertain et la fin, toujours proche», me répondaient en écho les mots de Morrison dans un «Roadhouse Blues» qui figurerait plus tard au répertoire du Blue Öyster Cult, à l'instar du «Born to be wild» de Steppenwolf, la philosophie ayant droit de cité (en flammes) au caeur de la sauvagerie qui laisserait l'humanité sur les genoux. La guerre psychologique du Culte ravageait nos cerveaux atrophiés pour laisser place à l'achèvement de la mission qu'allait illustrer de manière définitive le dernier album «Black & White» du groupe américain le plus persuasif qu'il me fût donné d'entendre. Des négociations secrètes se déroulaient déjà dans l'ombre, tandis que le sang dégoulinait des nouvelles cathédrales du Rock. Les pions étaient disposés sur un grand échiquier qui ne serait jamais télévisé. La soumission qui nous attendait encore serait... astronomique ! Nous n'allions pas tarder à le savoir.


Chapitre III

Pour étaler leur domination, les tortionnaires firent une démonstration en puissance majeure. Nous allions savoir ce que le mot soumission signifie pour de bon. Nous étions des sous-hommes, ils le justifiaient avec une férocité incroyable. Dans les charniers de cadavres amoncelés depuis leur arrivée, ils se mirent à récolter dans les cavités oculaires les yeux des victimes. Leur moisson était abondante. Ils accompagnaient leur oeuvre d'un chant ponctué par une ritournelle enfantine qui nous glaçait le sang, violence d'«Apocalypse Now» ficelée avec les partitions de l'«Ode à la Joie». Les bourreaux faisaient carrière sans attendre le départ de leurs aînés. Leurs jours de Gloire étaient arrivés. Les sillons de leurs 33 Tours étaient abreuvés de notre sang impie.
Les télépathes flamboyants captaient nos coupables pensées de résistance à cet envahisseur venu d'ailleurs, d'une autre Galaxie. Ils testaient les plus fiers destroyers destructeurs d'une tyrannie que nous connûmes jadis. Posant en costume d'époque devant l'emblématique Messerschmitt ME-262, les musiciens du Culte de l'Huître Bleue parachevaient leur aeuvre de destruction massive. Anéantis psychiquement pour subir pareils outrages sans que nous puissions réagir en quoi que ce soit, nous ne savions que trop qu'aucune Royal Air Force n'allait pouvoir arrêter le carnage. Ces damnées Guitares d'Enfer (anagramme de Fender), qui copulaient sans vergogne avec les amplis Marshall (Maison de Mars, dieu de la Guerre), nous faisaient hocher la tête et taper du pied, masochistes que nous étions !
L'Intelligence Extra-Terrestre Suprême guidait les manches des Six-cordes. La Terre était devenue leur champ d'observation de l'Univers. Le diagnostic agnostique du Docteur Fougeray était toujours aussi erroné. Le spectacle auquel nous assistions justifiait quoi qu'il en dise que les 5 guitares du Culte fussent en fusion devant l'Autel Sacrificiel. Ce pauvre Philippe croyait encore, avant d'être foudroyé plus tard par une hémorragie cérébrale, aux vertus de la Couleur Pourpre et aux bienfaits de l'Arc-en-Ciel amenés par Sire Blackmore. Or, les temps étaient au vermillon, au carmin bruni. L'Astronomie siégeait sur un Trône vers lequel nous n'osions plus lever les cieux. Des mélopées incantatoires et incandescentes avaient opéré la Mutation. Le triptyque Rachat-Tyrannie-Domination s'était imposé en force. L'inquiétant Blue Öyster Cult tranchait dans le vif de nos chairs ensanglantées : nos mémoires, notre Inconscient Universel garderaient ces images en Noir et Blanc gravées pour nos plus scrupuleux cauchemars. A jamais et pour toujours, je crois bien... Désormais la Couleur pouvait apparaître."

Il y en a qui carburent sec sur le net quand même ...

Hé bé, mon pov' monsieur....


Vivement le Chapitre IV.

Allez une petite pépite vidéo : il s'agit d'un extrait live tiré du récent concert qu'a donné le Blue Öyster Cult à Hoboken.NJ, le 16 novembre 2008.

http://www.youtube.com/watch?v=-lSwfNuuqCg

Ce concert était un fan's show, puisqu'organisé par la fan base internationale.
Quasiment 3 heures de concert avec des perles très rarement jouées sur scène comme "She's As Beautiful As A Foot".
Le morceau proposé, c'est "Arthur Comics", autre rareté qui remonte à l'époque du Stalk-Forrest Group (pré BÖC)
Tout cela en qualité HD ! Cliquez donc bien sur le bouton HD en bas à droite de l'écran avant visionnement pour bénéficier de la meilleure qualité possible.

Merci Daryl !!

Vous pouvez retrouver l'intégralité de ce show (version audio en prise audience ) disponible en FLAC ici : http://theluxordream.blogspot.com/searc ... -results=7

Setlist :

This Ain't The Summer Of Love
O.D.'d On Life Itself
Teen Archer
Harvester Of Eyes
Shooting Shark
ME262
Joan Crawford
Perfect Water
Astronomy
Buck's Boogie
Career Of Evil
Before The Kiss, A Redcap
Unknown Tongue
Harvest Moon
The Vigil
The Red And The Black
Golden Age Of Leather
Veteran Of The Psychic Wars
She's As Beautiful As A Foot
I Love The Night
Stairway To The Stars
Then Came The Last Days Of May
Black Blade
Dominance & Submission
In Thee
(Don't Fear) The Reaper
Arthur Comics
Hot Rails To Hell

merci!!

je veut la meme set list à l'olympia...en septembre

Heu..... c'est pas gagné.

Un mois après ce show de 3 heures, en décembre 2008, Buck est tombé chez lui dans les escaliers, avec pour conséquence une blessure à l'épaule.

Résultat : report de toutes les dates du début de l'année 2009, dont celle de l'Olympia prévue initialement en Avril.

Ca devrait quand même bien se passer en septembre prochain pour le concert parisien.

Après avoir acheté deux places pour la date d'avril, puis mes les être fait rembourser par la Fnac pour cause d'annulation (car selon leurs dires les place achetées en avril ne pouvaient être valables pour septembre, alors que finalement c'est bien le cas -------> me suis-tu encore, j'en doute un peu ? ) je renonce à venir à Paris pour le show.

Déjà les prix pratiqués sur la billeterie sont exorbitants (55, 77 ou 88 euros au choix, alors qu'à Istres ou Monaco les places affichaies un prix tout à fait modéré de 24 euros.)

Puis voir le BÖC sur une affiche partagée avec Uriah Heep me fait un peu redouter un show raccourci par rapport à une date classique en tête d'affiche. Je vois mal les deux groupes assurer leur show habituel de deux heures chacun, ce qui ferait durer le concert 4 heures mini, mais pourquoi pas remarque ...

Enfin, ça fait quand même un trip de 2000 km aller retour cette affaire, pour moi. Mais c'est surtout le prix des places qui me dissuade. Même si j'adore BÖC, ça me fait chier. Pouvaient pas faire ça ailleurs qu'à l'Olympia, merde ...