Je suis d'accord là dessus :
Pierrou a écrit:
Ce morceau envoûtant et vénéneux est une sorte de jumeau maléfique et électrisé du Friends de Led Zeppelin III . On y retrouve une ambiance assez similaire, installée en premier lieu par une batterie et des percussions moites à la présence presque étouffante, qui ne relâchent jamais leur emprise sur le morceau. C'est d'ailleurs le jeu inhabituel de Bonham, exécuté avec quatre baguettes, qui donne son titre à la chanson. Le reste du groupe forme lui aussi un mur sonique compact, mat, jusqu'au passage qu'on n'osera pas qualifier de refrain, vu son étrangeté, où les musiciens font mine de relâcher la pression en laissant s'infiltrer quelques guitares acoustiques et en permettant à l'électrique de reprendre un peu d'air entre deux passages en apnée.
...mais pas trop sur la suite, et surtout pas sur le
voire même
Intense et pénétrante, les adjectifs de PY conviennent parfaitement, le commentaire sur le final de Bobbychou aussi.
Une chanson que j'ai vraiment découverte tardivement, mais qui depuis fait partie de mes toutes favorites